Scirpe – Epuration par filtres plantés : une solution idéale pour les collectivités rurales

Des coûts d’exploitation moins élevés qu’avec une station classique

Avec plus de 2 000 sites en service en France, la dépollution des eaux par filtres plantés de roseaux fait aujourd’hui de nombreux émules parmi les collectivités rurales. Au-delà des aspects écologiques et économiques, ce système séduit grâce à son efficacité, à sa bonne intégration paysagère et à sa simplicité de fonctionnement. Autre atout majeur, il peut apporter des réponses face aux problématiques de marées vertes ou de prolifération d’algues.

Les performances

« Sur le plan de l’efficacité, une station d’épuration par filtres plantés de roseaux permet d’atteindre aisément le niveau de traitement fixé par la Directive Cadre sur l’Eau, explique Philippe Michel, Gérant de SCIRPE. » Et il n’y a pas de limites en termes de capacité, en dehors de l’emprise au sol que nécessite l’installation. Par exemple, un site d’un hectare – regroupant les surfaces de traitement, le local technique et les voiries – assurera l’épuration pour 2 000 équivalents-habitants (EH).

La simplicité du fonctionnement

« Sur le plan de l’exploitation, c’est très simple : il suffit de laisser travailler la nature, souligne Philippe Michel. Par exemple, il n’y a pas de boues à gérer au quotidien. En effet, celles-ci se transforment en compost, en se mêlant aux feuilles mortes des roseaux. Le compostage peut ainsi se dérouler sur une dizaine d’années, sans intervention humaine. Pour mémoire, avec une station
classique, les boues sont à évacuer fréquemment. »

Des coûts optimisés

« Grâce à un fonctionnement naturel et quasi-autonome, une station à filtres plantés de roseaux présente un coût d’exploitation de 4 à 5 fois moins élevé qu’une installation à boues activées, évoque Philippe Michel. » Pour des capacités supérieures à 1 000 EH, les investissements seront, quant à eux, équivalents pour les deux filières.

Dénitrification et déphosphatation

« SCIRPE a développé des solutions dédiées à l’élimination des nitrates et des phosphates, dont les rejets constituent un enjeu important en Bretagne, précise Philippe Michel. Pour les premiers, cela passe par des zones anoxiques où les nitrates sont transformés en azote par des bactéries. De leur côté, les phosphates peuvent être précipités par des sels de fer. Ces solutions permettent, là encore, d’atteindre les mêmes résultats qu’avec des boues activées. »

SCIRPE Grand Ouest Centre d’Affaires « Alizés » 22 rue de la Rigourdière 35 510 CESSON SEVIGNE Tel : 02 99 83 53 86